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Une transition écologique au point mort
La transition écologique, le développement durable, ou encore la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) montrent leurs limites pour faire face aux immenses défis et enjeux écologiques. Tandis que le besoin d'agir pour l’écologie et la solidarité s'accélère, que nos activités doivent reprendre lien avec les limites planétaires qui nous sont imposées, nos activités humaines poursuivent la destruction du vivant tout en creusant les inégalités.
La redirection écologique permet une transformation écologique profonde de la société en alignant nos activités humaines avec les limites planétaires.
« La redirection écologique nécessite d’apprendre une forme de sobriété dans ce qu’on s’autorise à imaginer et produire pour le futur. » —
Bastien Marchand
Les freins aux changements émanent du facteur même qui a causé les problèmes environnementaux : l'humain.
Le comportement humain est aujourd’hui clairement identifié comme le facteur de destruction de notre écosystème et ce dans d’innombrables domaines qui dépassent largement notre rapport à l’écologie (éducation, vieillissement de la population, insertion etc…).
Pierre Rabhi parlait de PFH, le Putain de Facteur Humain pour évoquer notre impuissance devant la situation.
Le facteur humain est la contribution humaine impliquée dans un événement, incluant l’erreur humaine. Celle-ci peut être provoquée volontairement ou involontairement.
Entre 1/2 et les 2/3 des projets de changement échouent ou se passent mal. On estime que pour 80% les raisons sont humaines. —
Étude Mac Kinsey repris par Arnaud Tonnelé dans « Réussir les transformations »
En posant le facteur humain non plus seulement comme le problème mais comme la solution, nous proposons d'agir au cœur des blocages humains. Nous souhaitons faire émerger des comportements vertueux pour que les acteurs engagés retrouvent leur plein pouvoir d’agir, réussissent et pérennisent leur projet écologique et contribuent à la redirection écologique.
L’éducation aux compétences psycho-sociales (cognitives, émotionnelles, et sociales) doit être accessible aux personnes engagées pour le Vivant, qui sont aujourd’hui les grands oublié·es des financements de la formation professionnelle que des OPCO (opérateurs de compétences) ou encore des politiques territoriales et locales répondant aux objectifs de développement durable.
Pourquoi notre solution est-elle une innovation sociale ?
Nous œuvrons à passer du statut quo à une véritable redirection écologique qui se fera grâce à des comportements humains adaptés et vertueux.
Faciliter les comportements vertueux essentiels à la redirection écologique, par l’éducation aux compétences psychosociales, auprès des associations, fondations et porteur·ses de projet.
Les compétences psycho-sociales (CPS) sont un ensemble de compétences sociales, émotionnelles et cognitives qui ont pour objectifs d’améliorer les relations à soi et aux autres. (Santé Publique France)
Certains appellent cela de l’écologie profonde, de l’éco-psychologie ou de la psychologie, de l’écologie humaine, de l’analyse de la pratique, du coaching, de la supervision, de la formation … quelle que soit l’appellation et la forme, l’écologie humaine est le fondement de comportements humains plus justes envers l’environnement social et environnemental. —